Le député Rémi DELATTE, spécialement préoccupé par la situation en milieu carcéral, a souhaité se rendre une nouvelle fois à la Maison d’Arrêt de Dijon où il a été accueilli par le directeur, Daniel WILLEMOT. En sa compagnie, il a visité les locaux de la prison, ce qui lui a permis d’aller à la rencontre de prévenus pour qui cette période de fêtes est particulièrement difficile. Le député a pu se rendre compte de la promiscuité de cette vie carcérale causée par une surpopulation, y compris dans l’établissement de Dijon. A cette occasion, il a pu apprécier le professionnalisme de l’ensemble des agents de la Maison d’Arrêt de Dijon.

Une cérémonie a eu lieu à la mairie de Fontaine-Française où le député Rémi DELATTE a remis les insignes de Chevalier de l’Ordre National du Mérite à Jeanne RUBIN. Celle-ci, coiffeuse depuis 36 ans à Fontaine-Française, est présidente de l’Union départementale de la coiffure. Outre le député, assistaient à cette cérémonie le maire de la commune, Nicolas URBANO, le président de la Chambre des Métiers, William FORESTIER, ainsi que de nombreux élus locaux.

Les jeunes adhérents de l’UMP de Côte-d’Or ont organisé leur repas de fin d’année à Dijon, au restaurant « Le Verdi », auquel étaient conviés les députés Rémi DELATTE et Bernard DEPIERRE qui ont passé une soirée agréable en leur compagnie.

Rémi DELATTE, député de Côte-d’Or, a été invité par le président du Conseil Général, François SAUVADET, à participer à un déjeuner dans la salle d’Honneur du Conseil Général. Ce déjeuner, organisé à l’occasion de la Session Budgétaire du Conseil Général, a réuni les conseillers généraux du Département aux côtés de la Sous-Préfète Martine JUSTON et du député Bernard DEPIERRE.

Pour faire face à l’inquiétude que suscite la restructuration de l’entreprise AMORA-MAILLE des sites de Dijon et Appoigny et, sur proposition du Préfet de Région, Christian de LAVERNEE, une réunion de concertation a eu lieu à la Préfecture de Dijon.

Cette table ronde autour de Monsieur le Préfet s’est donc déroulée en présence de parlementaires dont Rémi DELATTE, de la direction générale de l’entreprise, des délégués du personnel et responsables syndicaux, de la Direction départementale du Travail et de l’emploi. C’est un échange qui a duré près de deux heures au cours duquel chacun des intervenants a pu exprimer ses réflexions. Les représentants des salariés ont clairement exigé une remise en cause des décisions de fermeture des sites de Dijon et d’Appoigny. Comme ses collègues parlementaires, Rémi DELATTE a de nouveau manifesté son soutien au personnel et a interrogé Monsieur le Président Hervé LAUREAU sur la stratégie de l’entreprise et du groupe UNILEVER. Restructurer le site de Chevigny, plus moderne et plus rationnel peut se comprendre en termes de pérennité de l’activité, à la condition que ce ne soit pas au détriment de l’emploi ! Par contre, il est complètement incompréhensible de voir le centre de recherche et de développement fermer ses portes. En effet ce centre de l’innovation UNILEVER, très récent et moderne a toute sa place à Dijon dans le cadre du pôle de compétitivité VITAGORA. Au-delà du symbole de la moutarde à Dijon, c’est aussi un savoir faire appuyé sur plusieurs générations de salariés qui est ainsi mis à mal. En cette conjoncture déjà bien difficile pour l’économie, c’est un mauvais coup supplémentaire qui est porté à de nombreuses familles concernées par ces projets de suppressions d’emplois ; nul doute que pour celles-ci, cette fin d’année 2008 laissera un goût amer.

La 8ème édition de Cité 21, Salon des collectivités territoriales de Côte-d’Or, s’est déroulée au Parc des Expositions de Dijon, où les 707 communes de Côte-d’Or ont pu se retrouver. Rémi DELATTE, député-maire de Saint-Apollinaire, a, en compagnie d’autres élus, parcouru les allées du Salon à la rencontre des fournisseurs des collectivités territoriales. Cette année, le thème choisi était le développement durable décliné sous différentes facettes. Ce salon a encore remporté un vif succès avec des visiteurs toujours très intéressés par les nouveautés et tout ce qui touche le développement économique des communes, du département.

Rémi DELATTE a été invité par Patrice TAPIE, président de la CGPME 21, à assister à la convention d’hiver de la CGPME, qui se tenait au zénith de Dijon. Ce fut une convention empreinte d’émotion avec l’arrivée de son invité d’honneur, Lech WALESA, leader de Solidarnosc, qui fit un discours sur « l’Europe des Libertés » et qui reçut la médaille de la ville de Dijon. Ce rassemblement fut aussi marqué par l’intervention de l’ancien Premier Ministre, Jean-Pierre RAFFARIN.

Sur invitation de la Directrice Annie DEVAUX, le député Rémi DELATTE a eu le plaisir de se rendre à la Résidence de personnes âgées Val de Saône à Auxonne, et de rencontrer les résidants auxquels il a présenté ses souhaits de bonne fête de fin d’année. Au cours d’un déjeuner, il a pu évoquer, avec les représentants du personnel soignant et administratif, les dossiers concernant l’établissement et, d’une manière générale, l’accueil et la prise en charge des aînés.

Rémi DELATTE, député de la Côte-d'Or, se réjouit de l'attribution de subventions à la ville de Dijon, par le Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative. En effet, le conseil d'administration du Centre national pour le développement du sport (CNDS), réuni le 25 novembre 2008, a décidé l'attribution de subventions :
- d'un montant de 1 000 000 € pour la construction d'une piscine olympique ;
- d'un montant de 83 300 € pour l'aménagement d'un terain en gazon synthétique au stade de l'Eveil ;
- et d'un montant de 200 000 € pour la construction d'une structure artificielle pour l'escalade.

A leur demande, les responsables syndicaux agricoles ont rencontré Rémi DELATTE. Le bilan de santé de la PAC soulève de vives inquiétudes dans la profession agricole. Rémi DELATTE leur a apporté son soutien et est intervenu directement auprès de Michel BARNIER pour l’alerter sur les effets catastrophiques des prélèvements supplémentaires qui sont envisagés pour les surfaces SCOP. Si la solidarité entre productions s’impose et a toujours été respectée par les agriculteurs, elle ne saurait pénaliser les productions céréalières des régions intermédiaires comme la Côte-d’Or, dont les marges nettes sont déjà faibles. Les situations des productions animales et laitières, comme le projet de restructuration d’Aiserey ont été également au centre des préoccupations de ce rendez-vous, devenu habituel et indispensable.